Le Mouvement en Italie .

Les Photos Du derby Inter-Milan

ITALIE ROUMANIE




Le Ministère de l’Intérieur Italien avait mis en place des mesures spécifiques de sécurité et de surveillance renforcées afin de suivre quelques 200 ultras Italiens d'extrême droite qui devaient faire le déplacement en Autriche hier soir lors de la rencontre amicale entre l’Italie et la Roumanie.


La proximité de Klagenfurt avec le nord de l'Italie et notamment le Frioul et la Vénétie (moins de 300 kms de Vérone) faisait craindre en effet une présence massive d’extrémistes Italiens en Carinthie, la région qui fût gouvernée durant de longues années par le dirigeant d’extrême droite Jörg Haider.


Une crainte accentuée pour les autorités Italiennes après les incidents de Gênes, par la présence de nombreux Serbes vivant en Autriche, la Serbie elle-même n'étant pas si loin…


Des ultras d’extrême droite qui se feront remarquer par les habituels "Buu" racistes scandés à l’encontre de Mario Balotelli lors de ce match amical. Un Balotelli qui a assisté dimanche au derby de Milan entre son ancien club de l’Inter et le Milan AC dans le secteur des VIP du club…rossonero, une belle mentalité…


Des chants et des cris partis donc du secteur du stade occupé par les ultras Italiens qui avant le début de rencontre ont lancé des fumigènes et brandi une banderole “Giustizia per Gabriele” (Sandri) alors que durant la seconde mi-temps le même groupe exposera une longue banderole "No alla nazionale multietnica" (Non à une équipe nationale multi-ethnique)


Le match commencé, ils ont scandé "Non ci sono neri italiani" (Il n'y a pas de Noirs Italiens) suivi en fin de rencontre de "Nell’Italia solo italiani" (que ceux qui sont nés en Italie sont Italiens) sans doute en référence à Cristian Ledesma le milieu de terrain de la Lazio d’origine Argentine et qui vient d’être appelé par Prandelli sous le maillot de la squadra azzura…


D’autres chants viendront aussi contester la "tessera del tifoso" alors que "l’inno di Mameli" (hymne national Italien) a été repris en faisant le "salut romain".


La Police a identifié 41 personnes parmi les ultras Italiens et ces informations ont été remises aux autorités de la Police autrichienne dans l’éventualité de toute plainte en conformité avec les lois locales.


Les agents de la Digos présents en Autriche ont de plus interpellé en dehors du stade, un ultra d’Udine qui avait frappé un spectateur autrichien au visage. Il a été remis à la police locale et placé en garde à vue…


De fait de nombreux "Ultrà Italia" s'inscrivent désormais dans une mouvance politique "all’estrema destra", notamment dans les Régions du Nord Est, da Vérone à Padoue, de Trieste à Udine, mais aussi avec des ramifications importantes dans le Sud comme dans les Pouilles, en Campanie et dans la Région de Rome...

Debrecen - Sampdoria

torino - empoli

Milan - Rome













"Vous critiquez les tesserati mais vous vous déplacez seulement si vous êtes autorisés.
Gialorossi vous êtes commandés par le CASMS"

condensé des match de la semaine et du week end dernier



LECH POZNAN - JUVENTUS (Europa League)






BRESCIA - SAMP

Parcage non tesserati







SAMPDORIA - BARI






WERDER BREMEN - SAMPDORIA (Europa League)






BARI - PALERMO








BOLOGNA - LECCE

"Maroni, ta tessera ne nous arrêtera pas. Présents dans toutes les villes !"






BOLOGNA - MILAN








BOLOGNA - CHIEVO VERONA (en 2 matchs, puisque rejoué en raison de la neige)










BARI - MILAN








LAZIO - INTER






VERONA - PAVIA











VERONA - PERGOCREMA






ROMA - BARI

LA REPRESSION CONTINUE



Les tifosi du Napoli sans "tessera del tifoso" résidant en Campanie, ne pourront pas se rendre à San Siro le 6 Janvier prochain lors du match au sommet contre l’Inter de Milan…



Il s’agit là d’une nouvelle mesure contraignante pour les tifosi partenopei de la part du Comitato di analisi per la sicurezza delle manifestazioni sportive (Casms) qui a aussi décidé d’appliquer cette même mesure à plusieurs autres matchs des trois journées de Championnat qui seront disputées jusqu’à la mi-Janvier…


Inter - Naples du 6/1/2011, interdiction de vente de billets aux résidents de la Région de Campanie


Lecce - Bari du 6/1/2011, interdiction de vente de billets aux résidents de la Région de Bari


Roma - Catania du 6/1/2011, interdiction de vente de billets aux résidents en Sicile


Naples -Juventus du 9/1/2011, interdiction de vente de billets aux résidents de la Région Piémontaise


Fiorentina - Brescia du 9/1/2011, interdiction de vente de billets aux résidents de la Région de Lombardie


Lazio - Lecce du 9/1/2011, interdiction de vente de billets aux résidents de la Région des Pouilles


Naples - Fiorentina du 16/1/2011, interdiction de vente de billets aux résidents de la Région de Toscane


Cagliari - Palerme du 16/1/2011, interdiction de vente de billets aux résidents en Sicile

match à pas rater

napoli juventus


Alors que le Napoli devra se rendre à Milan le 6 Janvier pour y affronter dans un premier match au sommet l’Inter à San Siro, le match, trois jours plus tard au San Paolo face à la Juventus provoque déjà un engouement indescriptible chez les tifosi partenopei…


Ainsi alors que la vente des billets vient d’ouvrir à Fuorigrotta, 30 000 billets ont déjà trouvé preneurs et d’ores et déjà, il est prévisible que ce sommet, le deuxième en trois jours, se jouera à guichets fermés.


Après les premiers jours d’ouverture de la billetterie, les anneaux supérieurs en curve et distinti sont déjà complets et il ne restait que quelques centaines de places aujourd’hui dans les anneaux inférieurs des différents secteurs…


Les hommes de Walter Mazzarri pourront donc encore compter sur l’appuie de la tifoseria azzura. Un Mazzarri d’ailleurs de plus en plus en phase avec la Capitale de Campanie, lui qui vient récemment de declarer dans une interview : "Ici, ce que fait l’équipe sur le terrain est une sorte de vengeance sociale et donc pour nous autres, c’est une immense responsabilité à porter. Mais c’est ce que j’aime. Je suis très content de vivre dans ce climat, cette ambiance particulière, comme je suis très heureux de voir comment tourne le club actuellement"…

En plus on a Yebda dans Napoi, donc c'est un match a ne pas raté au double .

ce soir a part NAPLE JUVENTUS

un autre match tres attendu ( niveau tribune ) en serie B entre LECCE ET BARI
malheuresement les ultras de bari ne feront pas le deplacement



petit apercut de se que sa donne

Enorme !

ROMA - LAZIO (Coppa Italia)



"La Curva silencieuse est notre désaccord"





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Le derby entre la Roma et la Lazio en Coupe d'Italie, remporté par 2 à 1 par les giallorossi hier soir, a provoqué des émeutes et des affrontements dans la ville avant et après le match avec au final selon les chiffres communiqués, six personnes placées en préventive, 56 mises en examen avec maintien en liberté, 37 bombes agricoles saisi et 57 mesures d'interdiction d'assister à des manifestations sportives (DASPO) appliquées…


Bien avant le début de rencontre, la Police romaine avait déjà interpellé dans l'après-midi 40 ultras de la Roma à proximité du Ponte Duca d'Aosta.


Vers 17h, d’autres heurts se sont produits sur la Piazza della Farnesina où un jeune tifoso de quinze ans a été blessé d’un coup de couteau dans les fesses et a été immédiatement transporté à l'hôpital…


Enfin, trois ultras ont été interceptés par la Digos et trouvés en possession de couteaux, de barres de fer, de cagoules et de fumigènes. Ils ont immédiatement fait l’objet d’une interdiction de stade de 5 ans. Une autre a été trouvé en possession d'un couteau et une dizaine de personnes qui tentaient de franchir la clôture du stade Olympique ont aussi été interpellées.


Des mesures exceptionnelles de sécurité avaient été mises en place dès le matin dans le secteur du Foro Italico et autour stade du stade Olympique provoquant la paralysie de la circulation durant une grande partie de la journée…

Et beh ça c'est un chaud derby !

Après avoir vivement critiqué la décision des dirigeants de la Samp de fermer la Gradinata Nord lors du match de Coupe d’Italie contre l’Udinese, les UTC ont retrouvé cet après-midi leurs places dans leur nouveau secteur du Stade Luigi Ferraris…



Les Ultras Tito Cucchiaroni, placés cette fois au centre du secteur supérieur de la Gradinata Nord, avaient de plus du renfort dans leurs encouragements aux joueurs blucerchiati, puisque étaient aussi présents pour cette affiche contre la Juve, des membres des Boys de Parme et du Commando Ultras de Marseille…


Malgré leur jumelage avec les Boys, les Ultras Tito Cucchiaroni avaient été interdits de déplacement à Parme par le Casms cette saison. Ils sont régulièrement présents dans le secteur des Ultras du Virage Sud au stade Vélodrome.

Près de quarante ans en prison. Ceux sont les peines cumulés d’emprissonnement qui ont été par le Tribunal d’Avellino contre cinq ultras partenopei impliqués dans les affrontements du derby Partenio entre Avellino et Naples en 2003 au cours duquel le jeune Sergio Ercolano perdit la vie…



Les peines auxquelles se rajoutent de 90 000 € de dédommagement à verser à la ville d'Avellino sont de six ans pour deux ultras azzuri, huit pour un autre et de neuf années d’incarcération pour les trois autres, tous tenus pour responsables de ce qui s'est passé cette nuit tragique où le stade Partenio a été le théâtre de scènes d’émeutes et de véritable guerilla urbaine…


Ce match entre Avellino et Naples avaient ainsi donné lieu à de nombreux incidents dont la tragique mort de Sergio Ercolano, mais aussi à de nombreuses polémiques sur les causes et le déroulement de ces violences.


Car avant le match, rien ne laissait présager ce qui allait se passer puisque les ultras Napolitains et ceux Avellino avaient une relation d’amitié qui ne permettait pas de considérer cette rencontre contre un match à risque entre les deux tifoserie…


Pourtant si les condamnés se trouvent bien du côté des tifosi, l’origine des incidents se trouvait bien elles, dans certaines décisions des dirigeants d’Avellino qui avaient décidé de redistribuer une partie du contingent de places qui devait être réservé aux tifosi partenopei pour le jour du match.


En effet, le settore destiné aux Napolitains pouvait contenir 6.000 tifosi mais seulement 1.080 billets avaient été vendus à Naples. Bien que les partenopei avaient parfaitement le droit d'aller à Avellino et d’acheter les 5.000 billets restants sur place le jour du match, Pasquale Casillo, l’actuel Président de Foggia, à l’époque à la tête de l'US Avellino avait fait retirer les billets réservés aux Napolitains en Curva Nord pour les remettre à la vente pour les tifosi biancoverdi…


Le jour du match, des centaines de napolitains sans billet ont trouvé les guichets du stade d’Avellino fermés, provoquant leur colère. Des bousculades ont eu lieu tandis que certains tentaient de passer dessus les grilles en essayant d’échapper aux carabiniers qui intervenaient violemment pour les repousser. C’est dans ces circonstances que Sergio Ercolano a escaladé une barrière pour échapper aux Policiers puis a sauté sur la toiture d’un hangar en plexiglas qui a cédé sous le poids, provoquant une chute qui s’avèrera fatale d'une vingtaine de mètres.


Pour couvrir leur responsabilité sur cette tragédie et les incidents qui suvront, les autorités essayeront de faire croire que ce jeune tifoso avait tenté d'entrer sans billet dans le stade, mais rapidement il sera démontré qu’un billet pour ce match se trouvait bien dans la poche de son pantalon.


Irresponsables aussi dans l’organisation des services de secours qui auront mis 30 minutes pour l’évacuer vers un hôpital car ils ne trouvaient pas les clés du portail d’accès à la piste d’athlétisme entourant la pelouse où était stationnée l’ambulance prévue pour les Urgences…


La nouvelle de ce drame, qui se propagea dans le stade, provoqua la colère des ultras napolitains qui avaient réussi à entrer dans la Curva Nord et qui pénétrèrent sur le terrain pour s’attaquer violemment aux Policiers, considérés, comme les dirigeants d’Avellino, responsables de la mort d’Ercolano. Certains ultras d’Avellino rejoignant même la colère napolitaine…


Littéralement pris en chasse par des centaines d’ultras partenopei, les Policiers durent trouver refuge dans les installations du stade alors que de véritables émeutes se produisaient sur le terrain sous les cris “Assassini! Assassini!” adressés à la Police.


Par la suite, un Juge a rejeté une demande d’indemnités de la famille Sergio Ercolano formulée contre l'US Avellino, qui selon la Justice ne pouvait donc pas être tenue pour responsable des faits en dépit de toutes ses lacunes d’organisation.


Une mansuétude de la Justice qui n’a pas prévalu lors du procès de ces cinq ultras Napolitains, Daniele Cuorvo, Luigi Vozza (condamnés à 6 ans de prison) Agostino Noviello (8 ans), Luigi Del Bono et Enrico Di Franco (9 ans) pour avoir agressé et blessé des policiers lors de ces émeutes du Stadio Partenio…


Des peines maximales de neuf ans de prison, près de quarante ans de peines cumulées pour "des coups donnés à des Policiers", mais en parallèle (seulement) neuf ans et quatre mois de prison pour Luigi Spaccarotella, le Policier italien qui avait tué d’un coup de feu Gabriele Sandri sur une aire d'autoroute, près d'Arezzo en Toscane

Samedi, les tifosi rossoblu se souviendront de Spagna. Dimanche 6 Février, retour des tifosi du Milan AC à Marassi…



Après seize ans d’absence, les tifosi du Genoa et du Milan AC se retrouveront au Ferraris pour la première fois depuis la mort tragique de "Spagna". La décision a été prise ce matin par le Casms qui a donné le feu vert au déplacement à Gênes des tifosi Rossoneri munis d’une tessera del tifoso pour le prochain match entre les deux équipes le 6 février. La même décision avait été prise l'année dernière mais face à la menace d’affrontements, le Préfet alors alors décidé de jouer à huis clos.



Le 29 Janvier 1995, avant le match qui devait opposer le Genoa au Milan AC, Vincenzo "Claudio" Spagnolo surnommé "Spagna" avait été victime d'un guet-apens préparé et mis en œuvre par un groupe d’ultra milanisti, Brigate "2", proche des milieux d’extrême droite…


La mort de Spagna, tué d’un coup d’un couteau par Simone Barbaglia (qui fût condamné à une peine de 15 ans de prison) provoqua un émoi compréhensible et un énorme élan de solidarité dans toute la Ligurie et au-delà, dans toute l’Italie…


Depuis, les tifosi du Milan AC n’avaient plus mis les pieds à Marassi, longtemps du fait de la présence en Série B du vieux club Génois, ensuite du fait des risques d’affrontements entre ultras des deux camps et notamment au regard de l’attente des Grifoni de venger Spagna d’une manière ou d’une autre, un jour ou l’autre…


Mais dans l'intervalle, les deux clubs ont engagé des démarches officielles pour la réconciliation des ultras des deux tifoserie, tandis que les rossoblu avaient pu se déplacer à Meazza sans problèmes en Septembre dernier…


Quelques jours auparavant, s’était déroulée une cérémonie d’inauguration d'une plaque commémorative en hommage à “Spagna” en présence d’Adriano Galliani, l’Administrateur délégué du Milan AC qui pour la première fois avait demandé "pardon" au père du tifoso Genoano.


Mais avant le retour des Milanisti dans un peu plus d’une semaine, les tifosi rossoblu se préparent à commémorer samedi (14h) le 16ème anniversaire de la mort de Spagna lors d’une cérémonie officielle qui se tiendra dans le square en face du stade Ferraris, en présence du vice-président du Genoa, Gianni Blondet et de la famille de Vincenzo Spagnolo et tous les amis qui au fil des années ont toujours gardé vivant le souvenir de Spagna…

Lazio - Fiorentina

Milan - Lazio

Que c'est beau le SanSiro..

Catania - MILAN

Joli parcage (bien que tesserati)





NAPOLI - Lecce












"Des nuits d'insomnies, de chants et de passion. Des kilomètres d'autoroute et d'obscures stations services...
- Notre cadeau de Noël ?
Retrouver nos émotions, supprimez la tessera et le ministre Maroni"








CATANIA - Chievo








"Contre un Calcio dont on ne veut plus. Libre d'être Ultras !
ON NE FAIT PAS LA TESSERA !!"

Bari - Inter

lundi 7 février 2011
Genoa – Milan AC ne pouvait pas être un match comme les autres…

Même si les dirigeants des deux clubs avaient multiplié les gestes d’apaisement ces derniers temps, ce match entre le Genoa et le Milan AC qui voyait les tifosi rossoneri revenir au Stade Luigi Ferraris pour la première fois depuis ce tragique 29 Janvier 1995 et la mort de Vicenzo Spagnolo a donné lieu à de nombreux incidents…




On a pu voir encore hier, que certains ultras du Genoa n’avaient pas oublié ce désir de vengeance qui les habitait depuis la mort de Spagna, tué d’un coup d’un couteau par Simone Barbaglia, un ultra du Milan AC. Une volonté renforcée depuis des années par le comportement de la Curva Sud qui à chaque confrontation entre les deux clubs continuait d’entonner à San Siro, ce chant d’infamie pour les rossoblu que reste "siete uno di meno" ("vous êtes un de moins")…


Bien avant l’arrivée des Milanais, des centaines d’ultras du Genoa s’étaient rassemblés devant le stade Ferraris, sur la place où se trouve la stèle en hommage à Spagna, en attendant l'arrivée des tifosi Milanais, dans un climat très tendu et sous la surveillance de la Police anti-émeutes qui avait quadrillé le quartier de Marassi.


Venus en train à Gênes, les tifosi Milanisti ont été conduits dans des autobus après avoir été contraints de s’arrêter à la station de Genova Principe afin d'éviter tout contact avec les genoani. Des ultras rossoneri qui ont lancé des pétards et des fumigènes par les fenêtres à chaque arrêt des bus dans les rues de la Capitale Ligure…


À l’arrivée sur la place en face du stade des rossoneri, les ultras rossoblu ont cherché la confrontation par des jets de fumigènes et de bombes agricoles. La Police a tenté d'isoler les deux groupes tandis que les Genoani franchissaient les barrières de sécurité et se déplaçaient vers la zone des Milanais en lançant des bouteilles et des pétards….


Des incidents qui ont impliqué de nombreux ultras storici (historiques) du Genoa qui étaient présents lors du 29 Janvier 1995…


Des incidents qui se sont poursuivis dans le stade Ferraris, avec des tifosi du Grifone qui sont passés par la Tribuna d’Onore, pour lancer des projectiles en direction de la Gabbia Sud, le settore ospiti occupé par les Milanais qui répliquaient eux aussi par des jets d’objets vers les grifoni…


Lors des contrôles mis en place avant le match, les Policiers ont interpellé quatre ultras rossoneri et un rossoblu en possession de fumigènes et ont saisi 120 tiges rigides utilisées pour les bannières, afin d’éviter qu’elles puissent être utilisées lors d’éventuels affrontements. Près de la place en face du stade, ils (les Policiers) ont trouvé un sac abandonné rempli de pierres, de fumigènes, de fusées éclairantes, de deux bombes agricoles, de huit lames de rasoir et d’un couteau. Dix autres fumigènes ont été saisis dans une zone réservée aux tifosi ospiti…

Et beh les tifosi du Milan AC ne sont pas si gentils que ça..