Le Mouvement en Grece

AE LARISSA dans leurs nouveau stade de 20000 place contre l'OLYMPIAKOS

Des dizaines de supporters en colère de la défaite du Panathinaikos contre l'Olympiakos Volos (0-1) au stade Olympique d'Athènes ont envahi la pelouse, après le but inscrit par les visiteurs, pris d'assaut la tribune officielle et agressé leurs propres joueurs qui ont du (temporairement) trouver refuge dans les vestiaires…


La semaine dernière, déjà, les supporters du "Pana" avaient exprimé leur colère après le décevant 0-0 obtenu à l’extérieur contre Asteras pourtant 12ème au classement. Avant et pendant le match des banderoles ont été brandies dans le stade Olympique notamment par les ultras de la Gate 13 avec des messages explicites comme "Notre patience est à bout. Nous sommes au chômage alors que vous vous vautrez dans le luxe. Il est temps de nous respecter !"


Les supporters en colère ont aussi bombardé la Loge des dirigeants du Panathinaikos avec des sièges, des bouteilles et divers objets…

AEL - Olympiakos





drapeau palestine a droite

Le Panathinaïkos devra jouer ses deux prochains matches de championnat à huis clos après les incidents qui ont suivi la défaite (0-1) à domicile samedi dernier contre l'Olympiakos Volos lors de la 15ème journée de Super League.




Peu de temps après le but encaissé par le Pana, des supporters en colère avaient envahi le terrain, forçant l’arbitre à interrompre le match et aux joueurs à quitter le terrain pour se réfugier dans les vestiaires. La Loge Présidentielle de Nikos Pateras avait aussi été l’objet de la colère des supporters des Prassini mécontent de voir le PAO se laisser distancer par l’Olympiakos du Pirée…


Le club Athénien devra de plus payer une amende de 71.500 € après avoir déjà reçu la semaine dernière une amende de 96.000 € pour d’autres incidents impliquant la Gate 13.

un club dont on parle pas trop

les PANTHERS du PANIONIOS

PAOK SALONIQUE -- OLYMPIAKOS hier


un bon gros pogo

La police de Salonique a libéré un supporteur retenu en otage par les supporteurs d'un club adverse après des affrontements entre les fans des trois clubs de basket-ball de la ville.

Ce supporteur du PAOK Salonique, âgé de 28 ans, avait été battu et enfermé dans un salle de bains par des supporteurs de l'Iraklis un club rival. Il avait été enlevé et conduit dans un local d'un fan club d'Iraklis après des affrontements survenus à l'issue d'un match entre le PAOK et l'Olympiakos Le Pirée mercredi soir, affrontements qui se sont soldés par 22 arrestations.

Les fans du PAOK et de l'Olympiakos avaient été expulsés du stade après que l'un des arbitres eut été atteint par un projectile lancé depuis les tribunes.

Certains supporteurs du PAOK avaient alors regagné leur bus mais ils avaient été attaqués par des supporteurs du troisième club de Salonique, l'Aris. Une fois la police arrivée sur les lieux, les fans du PAOK ont quitté le bus et se sont rendus dans le centre ville où d'autres affrontements se sont produits avec les supporteurs d'Iraklis.

Manifestement en Grèce, les antagonismes entre groupes de supporters vont bien au-delà du football, puisque la Police grecque vient de libérer un fan de l'équipe de Basket du PAOK Salonique qui avait été séquestré par des supporters de l’Iraklis Salonique au cours des émeutes qui avaient en milieu de semaine dans la cité du Nord, après le match de mercredi dernier entre le PAOK et l'Olympiakos du Pirée…

Ce supporter du PAOK, âgé de 28 ans, avait été battu et enfermé dans une salle de bains par des ultras de l'Iraklis, un des clubs rivaux du PAOK (avec l’Aris). Il avait été enlevé et conduit dans un local d'un club de supporter d'Iraklis après les affrontements survenus à l'issue d'un match entre le PAOK et l'Olympiakos qui se sont soldés par une trentaine d’arrestations.


Les incidents ont commencé dans la Sports Arena pendant le match quand à la fin du troisième tiers-temps, la rencontre a du être temporairement arrêté après qu’un arbitre ait été blessé à la tête par un projectiles.


Plus tard une centaine d’ultras du PAOK ont ensuite attaqué les supporters visiteurs tandis que des supporters d’Iraklis et de l’Aris, les rivaux locaux du PAOK sont venus se mêler aux violences. Les premiers arrivant alors à intercepter un fan du PAOK pour le séquestrer jusqu’à ce que la Police, alertée par des témoins, ne le libère ensuite. Lors de leur intervention, les Policiers ont aussi saisi des casques, des bâtons et des fumigènes tandis qu’à proximité des locaux ils ont trouvé un cocktail Molotov…

PANSERAIKOS FC -- PAOK Salonique


le parcage du PAOK Salonique

OLYMPIAKOS -- IRAKLIS SALONIQUE

toujours le meme match

AE LARISSA 2 ---- 1 IRAKLIS SALONIQUE

OLYMPIAKOS ---- PAOK
Le craquage




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l'Olympiakos est le nouveau club de Djebbour.

PANATHINAIKOS ERGETOLIS

Panathinaikos - Ergotelis

ARIS SALONIQUE ----- PAOK SALONIQUE



Enorme ambiance de la SUPER 3
j'espere vraiment que marseille va tomber contre un club grecque l'année prochaine



entrée des joueur

TOUJOURS LE MEME MATCH

OLYMPIAKOS VOULOU 0 --- 1 OLYMPIAKOS LE PIREE



Le parcage de la GATE 7 hier
enfin je sait pas si on peut appeler sa un parcage la c'est une vrais invasion

l'olympiakos et toujours premier au moins on verra djebour en ligue des champions l'année prochaine

Ermis vs Anorthosis 28/01/2011


club de la petite ile de chypre grecque
on se croirait dans un autre monde quand ont voit l'ambiance qu'il arrive a faire dans un stade de 4500 place
je sait meme pas si c'est un club professionelle

jolie tifo et craquage

franchement video a regarder en entier c'est magnifique pour un stade de cette taille

Comme chaque saison ce match a fait basculer Thessaloniki (Salonique) la deuxième plus grande ville du pays, dans une fièvre exubérante, le temps de ce derby du Nord, l’une des plus passionnante et passionnée opposition entre deux clubs d’une même ville…


Un derby, mettant aux prises deux ennemis historiques, avec d’un côté l’Aris Thessaloniki, fondé en 1914 et qui prend son nom en hommage à Arès, le Dieu de la guerre dans la Grèce antique et de l’autre le Panthessaloníkios Athlitikós Ómilos Konstantinoupolitón, fondé en 1926 par des réfugiés Grecs de Constantinople (Istanbul). Une rivalité qui peut être exprimée au travers de celle qui oppose les Grecs "locaux" et ceux réfugiés d'Asie Mineure qui se sont installés dans la région de Macédoine, après l'échange de populations entre la Grèce et la Turquie en 1923.


L'antagonisme entre les groupes sociaux a été exprimé à de nombreux égards, l'un d'eux étant le football après la création du PAOK en 1926. Depuis lors, les supporters des deux clubs se vouent une haine tenace avec du côté de l’Aris, les ultras du Super3, tendance d’extrême gauche, anarchistes, ils transforment chaque rencontre au Stade Kleánthis-Vikelídis (Stade Harilaou) en une immense clameur avec des tifos parmis les plus marquants, non seulement du football Grec mais aussi au niveau Européen.


Du côté du PAOK, on trouve la Thyra 4 (Gate 4) reconnue pour être un des groupes ultras les plus fanatiques du vieux continent marqué par un (fort) engagement politique identitaire


L’antagonisme entre les deux clubs est peut être sans équivalent en Grèce (même entre les clubs Athéniens) et il a souvent débouché sur des violences et de très graves incidents entre le Super3 et la Gate 4, à tel point, qu’aujourd’hui seul les supporters locaux peuvent être présents lors du derby du Nord…

uniques ces greques